L’engouement dont l’éthique fait aujourd’hui l’objet pose question. Est-ce le signe de la fin de la morale ? Ou bien, cela traduit-il une complexification de nos manières de penser qui rend toute situation singulière ?
La morale est du coté du devoir, du respect, de l’impératif catégorique.
L’éthique est du coté du caractère, du désir, de l’intention.
Les deux perspectives sont-elles complémentaires ou contradictoires ?